Lettre d'une mère à une autre mère (Sâo Paulo, Brésil) après que l'auteure a vu l'indignation de l'autre mère à la télévision appuyée par des représentants des Droits Humains.
Voici la traduction à quelques mots près:
Madame, j'ai vu votre énergique indignation devant les caméras de la télévision contre la transférence de votre fils criminel, vers une autre prison loin de chez vous et les inconvénients que cela vous cause pour le visiter.
J'ai vu aussi toute la couverture accordée, par les médias et les soi-disants représentants des Droits Humains, à votre sympathique cause.
Madame, moi aussi je suis une mère et je peux bien comprendre votre indignation et je veux aussi vous laisser savoir l'énorme distance me séparant de mon fils mort enterré loin de chez moi, les inconvénients et les dépenses que cela m'occasionnent à chaque dimanche, car je travaille à petit salaire et je dois travailler six jours par semaine.
Si vous ne le savez pas encore, je suis la mère du jeune qui a été cruellement assassiné par votre fils qui a fait l'old-up au "vidéo club" où mon fils travaillait à petit salaire pour payer ses études du soir.
Le dimanche prochain lorsque vous serez en train d'embrasser et à faire de caresses à votre cher fils, moi je ne pourrai pas voir le mien et je serai à déposer des fleures sur la humble tombe au cimetière de la banlieue de Sâo Paulo, assez loin de chez moi.
Aussi il ne faut pas oublier, je suis en train de payer, via mes taxes, les considérables dégâts que votre fils a causé lors de sa rébellion en prison.
Au cimetière ou chez moi, jamais aucun représentant des Droits Humains ne s'est présenté pour me conforter ou pour m'informer de mes DROITS!!!!!!!!!!!!!!!!!
Encore, comme mère, faites donc le spécial faveur de faire circuler cette lettre afin d'aider à mettre fin à ce scandale qui est devenu le plat du jour quotidien au Brésil et au Portugal, pour que les Droits Humains puissent devenir les HUMAINS DROITS, NON CROCHES. Voilà plus ou moins la traduction de la lettre de cette pauvre mère dont le fils avait été assassiné.
Cependant, cette dame ne sait pas que cette politique salle, qui consiste à oublier délibérément les victimes et à avoir tendances à protéger les criminels, ça existe presque partout et cet exemple vient d'en haut puisque les politiciens accusent les victimes et qualifient les agresseurs des héros. On voit cela au Moyen Orient où les irakiens, agressés et assassinés chez eux par l'occupant oppresseur, sont accusés des terroristes mais, les soldats assassins qualifiés des héros.
Le Dénonciateur.
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