vendredi 5 mars 2010

ENCOURAGER LES JEUNES À LA CRIMINALITÉ?

Permettre aux jeunes travailler n'est pas légal et est considéré exploitation juvénile.
Pourtant cela serait déjà un très bon stage pour apprendre à communiquer dans le travail, pour apprendre comment ça se passera lorsqu'ils seraient définitivement dans le marche du travail de la vie pratique, aussi comment gagner de l'argent, enfin acquérir une certaine expérience.
Le jeune comprendrait mieux qu'il faut avoir une certaine sinon discipline certaine au travail et il serait moins choqué ou moins indiscipliné lorsqu'il aurait un emploi d'adulte, n'importe quel emploi est valorisant pour un jeune, le salaire ne doit pas être un obstacle lorsqu'on débute car acquérir un peu d'expérience devient beaucoup plus important.
En regardant une télévision étrangère présentant un grand débat, comment se sortir de la crise et l'avenir des jeunes. Il s'agissait d'un débat de table ronde élargie constituée par des chefs de syndicats et chefs d'entreprise devant une assistance d'environ un millier de personnes.
Deux chefs d'entreprise (devenues multinationales) ingénieurs de formation, avaient commencé à travailler à l'âge de 13 et 14 ans, permis à l'époque, mais qui les a aidé beaucoup en discipline au travail et dans les relations à l'intérieur du travail. Une fois rendus adultes et diplômés chacun a décidé de former sa propre entreprise. Ils avaient compris que pour bien réussir il faut discipline + discipline+discipline +travail+travail+travail.
Il était question que les jeunes aujourd'hui sont laissés à eux mêmes, la formation qui reçoivent é médiocre, parfois ne savent pas écrire, les écoles ne les ont appris à être disciplinés et lorsqu'ils arrivent au marché du travail sont choqués d'entrer en contact d'un seul coup avec la réalité pour laquelle ils n'étaient pas préparés.
Aussi il était mis en question l'interdiction de travailler à 14 ans et que cela les fait dévier pour des activités non convenables que petit à petit le mène à la criminalité, entrent dans des gangs et ensuite l'obtention de l'argent facile de la criminalité, avec toutes les conséquences inhérentes pour eux, pour la société et pour la justice, soit des coûts énormes dont la société pourrait bien s'en passer en ayant à la place des citoyens convenables.
Malheureusement, aujourd'hui on a des parents qui n'ont pas reçu d'éducation et il devient plus qu'évident que ces parents ne peuvent donner à leurs enfants ce qu'ils ne possèdent pas, d'ailleurs les gouvernements leur a retiré l'autorité et cela ne fait qu'empirer la situation.
Les professeurs n'ont pas d'autorité, parfois par leur propre faute, l'enseignement est plus que médiocre, discipline n'existe pas, les intellectuels au gouvernement ont confondu liberté avec indiscipline, démocratie avec indiscipline et laxisme, on forme des analphabètes. Une fois quelqu'un avait téléphoné à un poste de radio pour se renseigner comment il pourrait retourner à l'école, il disait avoir fréquenté l'école jusqu'à l'âge de 16 ans mais ne savait pas lire ni écrire. Il avait réussi à se trouver un emploi sans remplir d'application, et au travail il avait besoin de lire des étiquettes et se disculpait de ne pas avoir les lunettes et finalement le patron lui avait dit: trouve-toi des lunettes ou alors c'est la porte. Comment se fait-il qu'il n'avait rien appris ni au primaire ni au secondaire? Et il semble que ce cas n'est pas unique, donc le système porte à faux dans la pure irresponsabilité.
Il me semble qu'à partir du primaire on devrait enseigner des principes élémentaires de discipline, d'épargne, et comment économiser dans la consommation sans oublier de commencer à parler des fameuses cartes de crédit, plus tard au secondaire on devrait intensifier cela et apprendre comment s'alimenter, à cuisiner pas cher et comment faire l'épicerie. Or il arrive qu'on n'apprend même pas à lire et à écrire, encore moins d'autres choses essentielles nécessaires pour l'avenir des jeunes.
Les enfants déficients ou mal commodes devraient avoir des professeurs spécialisés avec classes au nombre réduit pour que les professeurs puissent consacrer plus de temps à chaque élève. Cela coûterait pas cher, moins cher à long terme. Car ces élèves seraient encouragés à ne pas décrocher et deviendraient utiles à la société au lieu de décrocher et aller former des gangs de rue et devenir criminels avec tous les coûts inhérents pour la société, assistance sociale, coûts policiers, coûts d'avocats d'aide juridique et égorgements des tribunaux et prisons.
Ces élèves ne peuvent pas fonctionner dans une classe normale, ne peuvent pas suivre les autres et causent des préjudices irréparables aux élèves plus doués et qui désirent apprendre.
Ne pouvant pas suivre les autres ils sont découragés, deviennent hostiles ou décrochent sans aucun avenir devant eux et se retournent vers la criminalité.
Malheureusement, les ministres de l'éducation ainsi que les gouvernements n'ont pas la capacité de calculer les économies sociales que cela pourrait apporter, comme ils n'ont pas la capacité de comprendre les problèmes et apporter les solutions qui s'imposent, pourtant si simples. Le problème est que les gouvernants ne sont pas là pour servir mais plutôt pour se servir et décrocher une pension avant l'âge. Ils ne se rendent même pas compte que le laxisme fait naître des problèmes graves qui avec le temps forment une géante boule de neige transformée en glace qui écrasera tout sur son passage, alors ça sera trop tard pour agir.
Un jeune arbre pousse droit soutenue par un tuteur, lorsqu'il deviendra adulte tout croche on ne peut plus le redresser. Les pseudo politiciens ne possèdent pas ni les aptitudes ni le jugement pour comprendre cela, leur seul soucis est de se servir de l'État, des contribuables,
Le dénonciateur

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