lundi 15 décembre 2008

LEDENONCIATEUR

QUE SE PASSE-T-IL ENCORE AU BRÉSIL? QUE FAIT LULA?
Monsieur L . en 1961 achète 375 ha au Brésil, en la Municipalité de Chapada dos Guimarâes, district de Cuiabá, Estado de Mato Grosso. Cependant ce monsieur était bien loin de s'imaginer que, ses économies d'ouvrier en France, allaient servir à payer des impôts fonciers pendant une quarantaine d'années au gouvernement brésilien et perdre tout l'investissement d'achat.
M. L. avait envisagé de s'établir au Brésil mais il s'est vite rendu compte que n'était viable dû l'instabilité politique et à l'insécurité très dangereuse. Alors que vers les années 90, plus démocratiques, était déjà trop et non moins dangereux.

Vers la fin des années 90, peut-être plus précisément en 1999, la Municipalité de C. Guimarâes est fusionnée avec d'autres d'autres municipalités, alors cette municipalité disparaît de la carte et magiquement aussi la propriété de m. L. , ce dernier cherche à contacter les autorités responsables mais, aucune réponse aucun accusé de réception.
M. L. avait toujours payé ses impôts fonciers (impostos territoriais) à INCRA (Institut Nacional de Colonizaçâo de Reforma Agrária) et aussi à la municipalité C. G. Alors il s'adresse à Icra mais, aucune réponse. Il s'adresse aux bureaux de l'Incra à Cuiabá et encore là personne avait eu connaissance de confiscation de propriété sans rémunération ni quelconque explication.
Alors m. L. s'adresse à un avocat et ce dernier lui dit: mon ami!... pour se démêler et se battre contre le monstre bureaucratique ça prend un temps sans fin, des années, des années et à la fin ça va vous coûter aussi cher que la valeur du terrain, et nous avons le temps de mourir avant !... Dans les circonstances suivez mon conseil: essayer de solutionner votre problème auprès du milieu politique en vous adressant par exemple au Cabinet du Président ou encore au Cabinet de la Defensora Publica Geral da Uniâo (la defenseure du public) et je vous donne ici les coordonnées dont les bureaux sont à Brasilia.

Au cabinet du président, le chef de cabinet envoie la dossier aux autorités concernées et ensuite plus rien plus aucune information. M. L. s'adresse une deuxième fois, le chef n'était plus là, celui qui l'avait substitué n'était pas au courant du dossier et on recommence à nouveau sans suite, le chef avait encore changé paraît-il. Malheureusement ces postes là sont très instables et changent souvent à cause des conflits d'intérêts ou allégations de corruption et les démissions ou les changements se poursuivent, les journaux ont été assez éloquents à ce sujet, le bureau du président souvent mis en doute à cause de ses collaborateurs.

Du coté du cabinet de la Defenfora Publica, aussi de changements, devenant par la suite la Controladoria Geral da Uniâo do Estado do Mato Grosso. Aussi sans suite.
M. L. s'adresse aussi à la Ouvidora-Geral da Uniâo, aussi sans suite.
Il s'adresse aussi au Sperintendente de la la Superintedência Regional do Mato Grosso, mais encore là aucune suite.

M. L. a rencontré un ex-haut fonctionnaire retraité qui lui a donné froid au dos, en effet celui ci lui dit que cela est monnaie courante. Que les adminisstrateurs profitent du fait que les propriétaires résident à l'étranger pour transférer avec faux des documents les propriétés à leur nom ou au nom d'un familier, ensuite le vrai propriétaire est coupé de toute information, surtout se le fraudeur est un fonctionnaire qui contrôle tout dans l'administration locale et dans le cas des fusions de municipalités l'occasion est facilité par la confusion.
Ce ex-fonctionnaire disait que les gouvernements sont très bien au courant de la situation mais ne font rien, ils ont bien d'autres chats à fouetter. La dénonciation faite à plusieurs instances par m. L. c'est bien la preuve qu'ils sont conscients.
La corruption lorsqu'elle est installée! ... Elle sera pour y rester, on a vu avec les arrestations à Sâo Paulo des juges très puissants, ça n'a rien changé, tout est imbriqué comme un mur de brique, il fallait tout démolir et ça serait mission impossible.
Conclusion: contrairement à la publicité, le Brésil continue à être un pays très dangereux pour les petits investisseurs ayant comme surprime l'extrême manque de sécurité.

Dernièrement il a été publié dans les journaux qu'il avait une vague de confiscation de propriétés au Brésil, ayant comme justification la remise aux sans terre.
L'Ambassade du Portugal s'était dite inquiète par rapport aux imigrants portugais au Brésil.
M. L. s'est adressé à l'Ambassade du Portugal à Brasilia, cette dernière lui l'indique le Bureau Portugais qui s'occupe de cela à Sâo Paulo (AICEP-Portugal Global) ce bureau avait accusé réception et après plus rien.
M. L . s'est adressé aussi au ministère des affaires étrangères à Lisbonne et malheuresement ce dernier est resté silencieux. aucune réponse.
Ce monsieur s'est ensuite adressé au Secrétaire d'État à la "diaspora" portugaise dans le Monde, lequel est supposé avoir comme fonction principale celle de protéger les droits des émigrants portugais. Pas d'exception! Encore là même pas un accusé de réception.
Moi même je me suis renseigné sur ce poste fictif, cependant il n'est pas si inutile, il dispose d'un buget de 58 centimes par émigrant, or selon mes renseignements il existerait environ sept millions de portugais dans le Monde et cela ferait un budget dépassant les quatre millions d'euros que ce secrétaire d'État semble utiliser pour les voyages organisés en visite à groupes d'émigrants et il en profite pour faire de la propagande gouvernementale en faisant croire qu'il s'occupe da diaspora, non pas pour défendre les intérêts de ses compatriotes mais plutôt pour qu'ils continuent à envoyer chaque années leurs économies, soit des milliards au Portugal pour balancer et équilibrer la balance de paiements, ainsi les misérables économies des émigrants peuvent permettre les mandarins de l'État continuer à vivre dans le luxe et l'opulence.

Quant à monsieur L. !!!!!!! Il vaut mieux qu'il oublie ses terres, l'argent qu'il avait payé pour et aussi les impôts qu'il a payé pendant quarante ans à un gouvernement qui signe de conventions qu'il ne respecte pas, exemple celle de l'ONU ou il est inscrit que personne ne peut pas être dépossédée de son bien sans une rémunération raisonnable et encore mois purement confisqué.
Le dénonceur


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