vendredi 9 janvier 2009

LA JUSTICE SENT MAUVAIS AU PORTUGAL

SUITE:
Un individu avait rendu une jeune femme enceinte et n'a jamais voulu assumer ses responsabilités, la dame (pauvre et sans travail) a dû assumer toute seule pendant 12 mois la grossesse et la naissance de sa petite fille. Sans moyens elle s'était résignée à donner pour adoption sa fille à l'âge de trois mois à un couple sans enfants mais avec des moyens dont le mari est sergent dans l'armée portugaise.
La mère biologique et le couple ont été mal conseillés par un avocat qui a fait le document d'adotion et les Services sociaux, puisque la mère aurait dû s'adresser aux services d'adoption.
Le père biologique n'avait jamais reconnu la paternité de l'enfant et il semble que la mère biologique avait porté plainte et le père a dû passer un teste d'ADN, lequel avait confirmé la paternité.

Et voilà que par la suite le père biologique réclame la fille et instruit un procès criminel contre le couple qui avait pris soin de la petite depuis l'âge de trois mois avec l'autorisation de la mère biologique qu'il avait complètement abandonné et en surplus il réclame une indemnisation de 30.000 euros.
Malgré les faits du manque aggravant de responsabilité du père biologique, malgré la majorité de l'opinion publique, malgré les avis: de juristes, professeurs de droit, des spécialistes de l'enfance, des personnalités importantes dans le dommaine de la protection et l'intérêt des enfants, notamment un psycologue directeur d'un centre pour enfants abandonnés et l'opposition de 27.000 signatures incluant des personnalités comme les épouses d'ex- présidents de la république, du jamais vu, les tribunaux condamnent le père affectif à six ans de prison et à verser 30.000 euros au supposé délinquant père biologique. L'épouse affective est maintenant devant les tribunaux accusée du même crime séquestre d'enfant.
Une juge au mois de décembre 2008 avait ordonné que l'enfant passe les fêtes avec le père biologique et ensuite a ordonné que la petite fille (âgé maintenant d'environ sept ans) ne retourne plus chez les parents affectifs et cela malgré l'opposition de la mère biologique. L'enfant criait, refusant quitter les parents affectifs mais la juge avait ordonné à la police d'arracher l'enfant aux parents affectifs dans un spectacle épouvantable en la voie publique devant le tribunal.
La justice au Portugal ne semble pas fonctionner, les hommes d'affaires disent souvent que le pays sans justice crédible ne peut attirer des investissements car les litiges tardent des années et souvent tombent dans la prescription et lorsque justice est rendue cette dernière risque de tourner en injustice comme l'exemple qu'on vient de citer.

Donc où se retrouve la capacité de jugement et la morale d'une juge ou d'un juge qui condamne un couple de séquestre, alors que ce couple avait, bien au contraire, accepté de prendre soin d'un enfant de trois mois abandonné para son père biologique qui niait sa paternité et dont la pauvre mère se retrouvait sans recours à cause de son statut d'immigrante illégale? Où se retrouve la capacité de jugement et morale de ces juges pour détruire la carrière de ce sergent le condamner à 6 ans de prison et 30.000 euros pour le seul motif d'avoir fait de la charité et bien traiter avec son épouse cette petite fille qui ne reconnaît pas son père biologique? Et les droits de la mère biologique? On lui produit un déni de justice, donc elle n'a plus aucun droit?
Dans le temps de Salazar on n'a jamais vu une telle justice, ça c'est beaucoup pire qu'une justice du tiers monde!!!!!!!!!!!!!!! Non?
Où se retrouve la capacité de jugement et morale d'une juge qui avant Noël fait voler en éclats le bonheur d'un enfant que depuis des années n'a pas connu d'autres parents que le couple adoptif, et en surplus, cette juge, crée un spectacle publique en faisant arracher par la police l'enfant aux cris, de l'auto du couple qui a pris soin pendant six ans sans aucun reproche?
Cette juge ne devrait-elle retourner dans sa cuisine? Au moins pour laver la vaisselle au lieu d'être sur le banc pour rendre des préjudices irréparables?
Voilà ce qu'arrive lorsqu'on nomme des juges sans capacité de jugement? Sont-ils nommés par leur capacité et vocation ou par des contacts (qu'on appelle "cunhas" là bas)? c'est à dire qu'on n'occupe pas un poste par ses connaissances universitaires mais plutôt par les gens qu'on connaît bien placés. Un pays en décadence où il ne semble pas avoir une alternative politique.
Le Dénonceur

1 commentaire:

  1. Justice du tiers monde, comme en France !
    http://scandaledenice.canalblog.com/

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