samedi 6 novembre 2010

LE GOUVERNEMENT PORTUGAIS EST-IL UN VOLEUR?

Pourtant le président du gouvernement de Madère l'a affirmé!... (voir "Journal Publico et autres" du 04-11-2010).
Au Portugal la crise financière n'est-elle pas due à une législation qui a été conçue pour rendre la corruption légale et blindée? Est-ce que le cas du Portugal diffère de celui de la Grèce?
Les gouvernements n'ont-ils légiféré pour que les corrompus ne risquent pas grande chose? Voici quelques exemples: Les organismes, sociétés et entreprises de l'État, paraît qu'il en a des milliers, jouissent du droit que leurs C.A. (conseils d'administration) soient autonomes, pouvant ainsi décider de leurs propres statuts, des salaires et privilèges obscènes par rapport à la capacité de payer du pays et, par rapport au niveau de vie de la population, exemple des salaires qui atteignent parfois plus les 300.000 (trois cents mille) euros mensuels, tandis que le petit peuple est contraint à la misère de pensions de 250 (deux cents cinquante) euros par mois e salaire minimum moins de 500 euros par mois. Résultat? Pays en faillite et la plèbe encore plus pauvre? Et est-ce que le pire n'est pas à venir?
En effet les commis de l'État (camarilla qui gravite autour de la politique) gagnent en général plus que leurs homologues des pays riches, soit 32% plus que les américains, 22% plus que les français et 55% plus que les finlandais.Tandis que la plèble elle gagne 45% moins que celle dans la Zone euro. En surplus ces C.A. ne semblent-ils être bourrés d'administrateurs en trop et d'incompétents puisque les sociétés d'État ont déclaré des préjudices supérieurs à deux milliards en 2009? Et n'ont-ils perçu de bonis en surplus? Comment les recettes de l'État pourraient-elles résister dans un contexte pareil?
Aussi la législation est faite de manière que des corrompus puissent continuer à recevoir la pleine paie, même s'ils sont suspendus par un tribunal, la loi leur permet de continuer à être payés jusqu'à ce que tous les recours, devant les tribunaux, soient épuisés et comme la justice fonctionne à pas de tortue, alors ils pourront continuer à être payés parfois jusqu'au delà d'une dizaine d'années.

Dernièrement, des commis d'État, malgré leurs salaires millionnaires, ont comploté dans un gigantesque réseau de corruption, ils ont été pris dans des écoutes, électroniques autorisées,dont un ancien ministre. Et voilà qu'ils ont été suspendus de leurs fonctions par un tribunal mais, continuent a percevoir leurs pleins salaires (voir "Jornal Publico" du 04-11-2010). Est-ce que leurs frais d'avocat jusqu'au suprême tribunal ne sont pas défrayés aussi par l'État??????????? Il serait intéressant de le savoir!!!!!!!!!!

Une arnaque chronique, les gouvernements ont pelleté leur pseudo socialisme sur le dos des propriétaires et en majorité sur ceux sans défense, exemple criminel:
Les émigrants portugais, obligés d'émigrer por des raisons économiques, en plus, par ignorance,d'envoyer de milliards d'euros annuellement au Portugal, ils ont investi dans le logement, beaucoup ont fait des sacrifices, pénibles à l'étranger, pour pouvoir investir en trois ou quatre logements pour s'assurer au leur retour un logement et une retraite améliorée. Malheureusementles gouvernements ont poussé l'abus à l'extrême de manière la plus cruelle en gelant les loyers pendant de dizaines d'années, malgré l'inflation galopante, et par la suite accordant des augmentations insignifiantes. Cela ayant comme résultat catastrophique/dramatique que les émigrants ont été carrément coupés de leurs revenus et lorsqu'ils sont retournés ils se sont retrouvés sans revenus ou des loyers souvent variant de 3 à 50 euros par mois. Dernièrement un a dû s'endetter pour faires des réparations, d'environ sept mille euros, exigées par les "salopards" municipaux, alors que le locataire ne paie qu'une vingtaine d'euros par mois, alors que le locataire demeure en province et garde l'appartement comme résidence secondaire dans les environs de Lisbonne. Il a des cas où le locataire, même avec un loyer ridicule, ne paie même pas, pour l'expulser il faut avoir les moyens financiers et la justice prend des années pour finalement le juge refuser d'expulser le locataire car il ne peut rester dans la rue.
Cela a eu comme résultat: une catastrophe dramatique pour les petits propriétaires privés de leur investissement du travail de toute une vie, et aussi une pénurie de logements pour les nouveaux locataires qui ne trouvent pas de logement et, en surplus le pays se retrouve avec 1.000.000 de logements dégradés et abandonnées qui constituent un danger public.

En fin de compte le dictateur Salazar n'était pas si mauvais qu'on le pensait, il était un gouvernant de son époque qui n'a jamais été riche.
Il avait passé un décret qu'un commis d'État ne pouvait gagner plus qu'un secrétaire d'Etat.
Aujourd'hui le commis d'État gagne parfois, décidé par son C.A., dizaines de fois plus que le président de la république.
Il ,Salazar,avait mis fin à la récréation anarchique qui s'était perpétuée de 1910 à 1926, anarchie et folie du pouvoir qui a mis les troupes les unes contres les autres, dans un chaos de guerre civil et en surplus impliquant l'armée, sans préparation, dans la guerre 14/18 où le 4/5 l'armée a été décimée car les alliés anglais l'a placée comme chair à canon sur le front.
Salazar avait pris le pays ruiné, en faillite où tout était à refaire. Dans les circonstances le remède était la dictature et malheureusement, à la fin, il s'est laissé scléroser avec son entourage dans une époque différente de celle de 1928. Cependant il a refusé que les portugais puissent servir encore une fois de chair à canon dans la guerre de 1940/45 AVEC TOUTES LES CONSÉQUENCES HUMAINES ET ÉCONOMIQUES INHÉRENTES.
Finalement il a laissé le pays avec les coffres pleins pour que la pseudo démocratie SOCIALISTE puisse faire la fête au détriment du peuple, et ensuite les nouveaux gouvernants se sont branchés aux fonds d'aide de l'UE pour continuer le festin pour arriver au cul de sac financier et économique D'AUJOURD'HUI.

Le dénonciateur.

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