Trois ours attendent depuis cinq ans, dans une cage, une décision du bureau de la Faune. Ils avaient été elevés au biberon dans un cirque, dressés à aller chercher un bonbon dans les lèvres de leur maître. Cependant un agent du bureau de la Faune avait décidé que ça prenait un permis à un coût très exorbitant dont le cirque n'avait pas les moyens de se le payer, le propriétaire avait refusé mais la Faune l'a obligé a garderles animaux encagés sous sa garde et à ses frais en attendant que la Faune trouve une solution ou une place pour éberger les animaux.Toutefois ça fait cinq ans que ça dure, malgré qu'une municipalité et un zoo sont intéressés et eux aussi attendent toujours la décision du Bureau de la Faune, alors que les animaux restent encagés dans des cages à dimention réduite depuis cinq ans aux frais et soins du ex-propriétaire, incroyable!...Une éloquence colossale du fonctionnement du monstre bureaucratique portugais! Écrasant de tout son poids tout developpement possible.
Será que les agents du bureau de la Faune attendent un "pourboire" en euros?...
Néanmoins cela démontre bien comment fonctionnae la médiocre-bureaucratie dans ce pays dont les conséquences sont bien présentes puisqu'il se retrouve au bord de la faillite.
Le malheureux c'est le fait que les gouvernants sollicitent des investissements sans s'apercevoir ou avoir la capacité de comprendre que leur pays n'offre pas des conditions pour y investir! Le monstre obèse de bureaucratie y est roi et maître, et, en surplus disposant d'une justice qui ne fonctionne pas où il s'y ajoute un système fiscal qui réclame des dûs injustifiés, afin de se trouver les moyens financiers d'alimenter les milliers de commis de l'État qui s'enrichissent avec des salaires et multiples pensions millionnaires, rémunérés dans l'opulence indécente/obscène, payés de 32% à 55% plus chers que leurs collègues des pays riches comme les EUA.
Le ministre des finances s'est déplacé en Chine pour solliciter des investissements, alors qu'il est incapable de garder les entreprises qui quittent, environ 47.000 en 2009 et 48.000 déjà en 2010, les unes ont quitté, d'autres ont fait faillite, d'autres ont fermé et encore d'autres ont été saisies par le ministère des finances (revenu). Dans les faits les entreprises sont obligés de payer le IVA sur les factures non acquittées, mauvaises créances ou paiements trop en retard, dont l'État est un des responsables, il tarde ses paiements 10 ou 12 mois mais, il exige l'IVA immédiatement, et si la petite entreprise n'a pas d'argent elle sera saisie par le ministère des finances, alors elle ferme ses portes ou fait faillite. Tandis que les riches encaissent des millions sans payer d'impôt.
Il reste les affaires de l'état dont l'auditorie a constaté et confirme irregularités et pratiques de gestion condemnables des commis de l'État.
Il semble qu'en a environ 14.000 entités publiques comprennant 537 entreprises publiques, 340 fondations, 379 instituts publics, 1.000 sociétés d'État, le tout alimenté par le trésor public,le tout en général occupé par des ex-politiciens et leurs proches, sans aptitudes ou compétence de gestionnaire. Certains gestionnaires, malgré leurs salaires millionnaires,ont comploté dans un réseau de corruption et doivent comparaitre devant les tribunaux, ils se sont laissé prendre dans des écoutes électroniques effectuées par la police judiciaire et autorisées par un magistrat.Source: journaux portugais et en particulier le "Jornal I" du 18-10-2010 et 15-11-2010.
Le Dénonciateur.
lundi 15 novembre 2010
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