dimanche 10 octobre 2010

LES POLITICIENS PORTUGAIS FONT LA RISÉE DU MINISTRE DE FINANCES SUISSE

Au Portugal, le chef de l'opposition officielle prétend que le premier ministre minoritaire lui fait du chantage pour qu'il endosse les erreurs de 15 ans de socialisme et approuve son budget le 28 octobre, en voulant mettre le cul de sac financier de son gouvernement sur le dos de la crise mondiale. En faits la crise mondiale est venue s'ajouter à la crise financière chronique qui a été camoufflée depuis des années et un peu colmaté par des impôts et taxes déguisées au détriment de la pauvreté et l'avantage de l'enrichement des milliers de commis de l'état, dont l'écart par rapport à la population est effrayant, par exemple des pensions d'environ 240 euros par mois aux moins nantis et les pensions milionnaires qui accumulent les comis d'état,par rapport au salaire minimum d'environ 400 euros par mois et celui de dizaines et centaines de mille euros par mois du commis d'état.Exemple le Pdg. du petit monopole de l'électricité d'État portugais,gagne environ en 45 jours, environ le même montant que le Pdg du 3°.producteur d'électricité au Monde (Hydro-Québec)gagne en une année,soit 455 mille dollars canadiens. En effet ces disparités et ces monstrueux contrastes ont crée la richesse et l'opulence de la "camarilla" au détriment de la pauvreté tout en conduisant le pays dans un cul de sac plein de dettes et rendu dans une dépression qui personne n'ose parler, se limitant à dire que sont dans une nouvelle recession alors que se traduit par une aggravation de la récession existente déjà depuis longtemps même avant l'arrivée de la crise mondiale. Un pays dont la population gagne seulement 55% du salaire payé dans la Zone euro, la plebe a subi déjà cette année une augmentation d'impôts, taxes et coupures, et, selon le nouveau budget, s'il est approuvé, il y aura d'autres augmentations et coupures, sans oublier la taxation de la nourriture essencielle, tandis que le gouvernement ne fait rien pour couper dans le gras obèse de "la camarilla".
Voilà que cette situation dramatique et les tractations des politiciens qui s'accusent les uns les autres des irresponsables, comme des enfants, ont provoqué des fous rires au ministre suisse des finances à tel point qu'il était, parfois, obligé d'arrêter son allocution pour essuyer ses larmes, un video circule dans na Net. Voilà où est rendue la crédibilité des politiciens portugais, notamment ceux qui sont au pouvoir avec une politique socialiste démagogique.

Le Dénonciateur.

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