dimanche 10 avril 2011

SOCIALISME ÉGAL À TROIS RECOURS AU FMI

Le Portugal depuis la "révolution des oeillets" (25-04-1974) a eu recours au FMI en 1977, en 1983 et maintenant en 2011, toujours avec le parti socialiste au pouvoir.
Évidemment les autres partis ne sont pas mieux mais, celui là semble être un vrai désastre, déjà au début des années 2000, le PM socialiste avait abandonné le pouvoir en démissionnât. Maintenant le PM José Socrates ne semble-t-il être le champion du désastre, de la super démagogie, de la jonglerie et de la culture du mensonge ?...
Dans chaque discours !... N'agit-il en charlatan ? Or il ne fait aucunement allusion à sa mauvaise gouvernance, il se limite à accuser l'opposition,il se pavane sans gêne qu'il fonctionne dans les intérêts du Portugal et que c'est seulement l'intérêt de la patrie qui l'intéresse. Après avoir gouverné le premier mandat avec un gouvernement majoritaire lui permettant le ruiner le pays sans opposition et maintenant un deuxième mandat avec une majorité relative où il s'est comporté en majorité absolue, certainement qu'on pourrait à s'attendre à un autre discours diamétralement opposé, de "mia culpa" et d'humilité. Toutefois il se comporte comme ç'aurait été l'opposition qui aurait gouvernée ces dernières six années. Le pays se trouve dans un chaos financier et économique mais Socrates (qui se recandidate) est incapable de proposer des solutions, dans les faits il et son parti socialiste s'auto-felicitent du bon travail dans les intérêts du pays, point final. Pour lui, si les affaires ne vont pas mieux c'est la faute de tous les partis de l'opposition. On reste abasourdit dominé par la nausée, lorsqu'on le voit si jovial et si à l'aise à insister sur cela, toujours la même cassette. Est-ce que ça n'est pas le cas pour qu'on se demande si ces fanatiques socialistes portugais ne souffrent-ils de schizophrénie collective au point ne ne pas se rendre compte de la plus élémentaire réalité en voyant la plèbe comme des inaptes à comprendre la situation de pauvreté, chômage et chaos, dans lequel se retrouve le pays?...
Vraiment est-ce qu'on pourrait s'attendre à d'autre chose que la faillite du pays où la camarilla du pouvoir qui gère environ 1400 organismes (beaucoup inutiles, de l'État, sociétés, entreprises, instituts et fondations, dont les préjudices sont astronomiques?
Quelques chiffres des salaires millionnaires par rapport aux pays riches:
Leurs homologues américains gagnent environ moins 32% (que les portugais).
Leurs homologues français gagnent environ moins 22%.
Leurs homologues finlandais moins 55%.
Paradoxalement: la plèbe portugaise gagne 45% moins que les autre européens de la Zone Euro. D'autre part le salaire minimum des portugais est d'environ d'1/3 de la zone Euro. Tout un contraste, un paradoxe n'est-ce pas? La tyrannie de pseudo politiciens? Ne devraient-ils être jugés et mis en prison?
Quant aux pensions elles commencent à 149 euros par mois.
La camarilla, elle accumule les pensions, souvent sans jamais avoir cotisé pour cela.
Il suffit que cette élite opulente travaille, ou fasse semblant de travailler, deux ou trois ans dans un organisme gouvernemental, CGD, Banco de Portugal, entreprises de l'état et etc. pour avoir droit à des pensions de milliers d'euros par mois,qui peuvent être accumulées. Ces administrateurs souvent disposent assez de temps pour enseigner dans les universités où ils vont chercher une autre pension. Exemple, un ancien ministre jouit dans total de pensions de 38000 euros par mois. Cela avait été qualifié d'obscène par un autre ancien ministre. Ils sont comme les abeilles qui se promènent de fleur en fleur pour collecter le nectar pour garnir la ruche de miel, sauf que la camarilla le fait pour elle même, pas pour la communauté.

Le ministre de finances portugais a eu le culot de déclarer qu'il ne pouvait rien faire contre les salaire, pensions et privilèges millionnaires, parfois des centaines de millier mensuels parce que ces organismes sont autonomes et ce sont les C.A. qui se votent eux mêmes leurs conditions et salaires. Pourtant c'est le gouvernement qui a décrété la dite autonomie! Faut-il être un sans vergogne et moqueur de la misère pour faire de telles déclarations? Peut-on qualifier cela de corruption légalisée?...

En 1961 avait été promulgué un décret qui interdisait un gestionnaire de l'État gagner plus qu'un secrétaire d'État, le 25-04-74 a jeté cela à la poubelle, aujourd'hui i y a des administrateurs gagnant plus de 15 fois le salaire du président de la République. N'oublions que ce dernier accumule des pensions d'environ 9000 par mois.
Le fils d'un ex-président, à peine sortit de l'université sans aucune expérience, a été nommé gestionnaire d'une entreprise de l'État. C'est le bar ouvert et la mer à boire et cette mer s'est asséchée, mais, évidement pas pour la camarilla, s'est asséchée juste pour la plèbe. Rien que les sociétés d'État ont causé, en 2010, près de deux milliards et demi de préjudice. Il n'y a pas des recettes fiscales qui puissent résister à une déroute pareille, au plus fort la poche et au peuple la misère.
Cerise sur le gâteau, comme si les salaires et privilèges millionnaires ne suffisaient pas, une trentaine ont été pris dans le filet des écoutes électroniques de la police judiciaire, et, maintenant accusés de corruption, recevaient entre autres choses, autos haute gamme en cadeaux pour faciliter le vol pur et simple de l'État.
Néanmoins ils sont suspendus avec plein salaire, et, comme les tribunaux sont lents et qu'ils peuvent en appeler de la sentence s'ils sont reconnus coupables, alors ça peut traîner des nombreuses années à toucher le plein salaire sans travailler et ensuite une ou plusieurs pensions dorées, sans compter que les délais sont si longs que parfois les procès s'en vont aux archives parce que les délais sont dépassés et les comparses ne sont même pas jugés. C'est comme ça au Portugal!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Le Dénonciateur.

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